Vive la liberté
On révise ses classiques
Chaplin développe, au tournant des années 1916-17, le personnage de Charlot. Dans L’Émigrant, l’humour “slapstick” est mis au service d’un propos engagé – la misère des immigrants. On retrouve cette fantaisie pétaradante dans Charlot s’évade. Un propos pas si éloigné de Vive la liberté, mettant en scène deux fameux taulards : Laurel et Hardy. Ces trois courts films muets sont projetés sur des partitions signées Carl Davis et Jens Troester. Un sacré vagabondage !