J’ai des doutes
François Morel
Raymond Devos n’est plus, mais son oeuvre demeure. Fasciné par ce clown jonglant avec les mots et l’absurde, François Morel lui rend hommage sans jamais verser dans la vaine imitation. Dans J’ai des doutes, l’inoubliable Deschiens fait sonner les sketches iconiques du maître (de Caen à Mon chien, c’est quelqu’un, en passant par J’ai des doutes, donc). Accompagné d’un pianiste, il éclaire avec la faconde qu’on lui connaît toutes les subtilités d’une langue éternelle.