Peter Hook & The Light play Joy Division
Retour vers le futur
« Nous sommes sur la crête entre le sublime et le grotesque », nous avait glissé un ami lors d’un concert de Peter Hook à Lille, voici quelques années. Le sublime et le grotesque ? C’est, d’après Victor Hugo, l’un des traits du drame romantique. En l’occurrence, voir Peter Hook, 65 ans et bedonnant, entonner les chansons du plus célèbre des épileptiques a quelque chose de grotesque. Et de sublime, aussi. Dramatique ? Même pas. Romantique ? Assurément.