Dada is not dead
On évoquait Dada un peu plus haut (voir ici) . Un mouvement bref, intense, qui fit table rase des conventions politiques et esthétiques, en conservant un sens de l’humour féroce. Un siècle plus tard qu’en reste t- il ? Les artistes présentés ici ne se posent pas en héritiers officiels du mouvement de Tristan Tzara. Mais, devant les grafs très post-Bérus de Mimi The Clown, les portraits énergiques de David Veroone et les formes généreuses des cartoons de David Gouny, on envisage Dada comme un papa. Un père indigne, évidemment.